Gestion de la formation – Optimisation – 27/12/2022
Alors que 2022 touche à sa fin, il est temps de réfléchir à ce que l’on pourrait faire de mieux, dans notre vie personnelle comme professionnelle. Chez Place de la Formation, nous avons identifié quatre axes d’amélioration pour ancrer la culture « développement des compétences » dans l’entreprise tout en améliorant les processus opérationnels et administratifs.
Si les salariés plébiscitent la formation continue pour être en mesure de remplir efficacement leurs missions et maintenir leur employabilité, la manière dont elle est gérée au sein de l’organisation a une incidence sur leur motivation. Des études révèlent ainsi que la prise en compte des demandes de formation et leur suivi ne sont pas toujours optimaux. Il y a donc là un véritable axe de progrès pour améliorer le recueil des besoins et les intégrer dans le plan de développement des compétences. Une analyse macro des tendances dans le secteur d’activité, complétée par une analyse terrain avec les managers, peut être une bonne entrée en matière.
Un autre défi va consister à développer un catalogue de formation pertinent et attractif, qui répond à la fois aux attentes des collaborateurs et aux enjeux organisationnels, aux besoins d’upskilling et de reskilling. Il va s’agir de trouver le juste équilibre entre court terme et anticipation, entre hard skills et compétences comportementales, tout en intégrant les préférences des apprenants en termes de modalités pédagogiques.
« En finir avec les tableaux Excel » : c’est une phrase récurrente chez les responsables formation qui souhaitent se doter d’une solution de type TMS (training management solution) pour gagner en efficacité et libérer du temps pour des activités à haute valeur ajoutée. L’appui sur une plateforme digitale offre plusieurs bénéfices, décrits dans l’un de nos livres blancs parus cette année (« Gestion de la formation : l’indispensable révolution digitale ») : la simplification de la gestion administrative ; la facilitation des interactions avec les autres parties prenantes internes ; le renforcement de la qualité de l’évaluation ; et l’inscription dans une démarche d’amélioration continue.
Le recours à une plateforme TMS va être précieux pour limiter les coûts indirects de formation, en particulier le temps/homme, pour le réinvestir dans des missions plus stratégiques et qualitatives. Autre exemple de ses bénéfices : l’exploitation des données recueillies par la solution digitale pour affiner le catalogue de formation et privilégier les modalités pédagogiques préférées par les collaborateurs, au service d’un plan de développement des compétences toujours plus performant.
Que l’on parle de ROI – retour sur investissement – ou de ROE – retour sur les attentes –, il n’est pas aisé d’estimer précisément la performance des actions de formation et leur impact réel sur les collaborateurs. La question de l’évaluation de la formation fait trop souvent partie des angles morts de la stratégie de développement des compétences. Il est pourtant possible de s’engager dans cette démarche d’objectivation des acquis et de leur transfert in situ : d’abord, en définissant des indicateurs de résultats pour toutes les actions de formation ; ensuite, en listant les objectifs concrets de formation et en les alignant avec les indicateurs.
Une autre bonne pratique mise en avant par les experts concerne le suivi des bénéfices de la formation, au-delà du ressenti « à chaud ». Le responsable formation doit adopter une vision moyen terme pour s’assurer du réel développement des compétences, du transfert des connaissances en situation de travail, voire de l’impact sur la performance organisationnelle.
Cette dernière voie d’amélioration à envisager pour 2023 découle des trois précédentes : en renforçant l’appétence des collaborateurs à se former, en tirant parti du digital pour améliorer la gestion administrative et consacrer davantage de temps aux activités à valeur ajoutée, et en s’engageant dans une démarche d’évaluation des acquis, le responsable formation contribue à faire de la DRH un véritable business partner du top management. Un rôle majeur qui se traduit notamment par l’implication du service formation dans la formalisation et le déploiement de la démarche de GPEC. Là encore, l’appui sur une plateforme digitale de gestion de la formation se révèle très utile pour bénéficier d’un tableau de bord dédié à la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences, et s’assurer que ses objectifs sont bien concrétisés.
Toute l’équipe de Place de la Formation se joint à moi pour vous souhaiter une très belle année 2023 !
Jérôme Lesage
Le blog de la formation
Que peut-on souhaiter aux responsables formation pour 2023 ?
Plusieurs axes d’amélioration peuvent être suggérés pour répondre à la fois aux orientations stratégiques de l’entreprise et au défi de l’employabilité des collaborateurs : renforcer la motivation à se former, améliorer la gestion administrative et s’engager dans une démarche d’évaluation des formations.
Quel rôle peut jouer une plateforme digitale de la formation dans l’atteinte de ces objectifs ?
Il est multiple : notamment gagner du temps administratif au profit de tâches à haute valeur ajoutée, maîtriser les coûts (en limitant les coûts indirects) ou encore disposer de données à exploiter pour affiner le catalogue de formation.
En quoi ces « bonnes résolutions » peuvent-elles renforcer la place du responsable formation ?
Concrétisées, elles sont de nature à développer la dimension business partner de la DRH – et du service formation en particulier –, une dimension cruciale pour définir et piloter efficacement la stratégie de GPEC, au bénéfice des salariés comme de l’entreprise.
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